
Quand la famille Bou Antoun crée Noura en 1989, elle entend faire rayonner la cuisine libanaise à Paris. 35 ans plus tard, le groupe compte 12 restaurants et différents concepts, de la brasserie à la street-food en passant par le gastro. À la tête de cette société familiale détenue en propre, Paul, Walid et Ziad, les 3 enfants du couple, ont pris la relève. Objectif ? Développer Noura avec un nouveau challenge, celui de se lancer en franchise.
Pascale Benhaiem Komlos
Noura, c’est une entreprise familiale ?
Ziad Bou Antoun : Mon père qui a perdu ses parents très jeune a appris la cuisine dans un hôtel près de son village libanais. Un jour, son patron lui offre l’opportunité d’aller à Paris pour travailler comme chef personnel d’une famille libanaise.
Il débarque ainsi dans la capitale à 19 ans, y rencontre ma mère, qui voyage à Paris. Ils se marient et ouvrent ensemble un petit snack, le Liban Vert, qui vend des sandwiches à base de viande, de shawarma et des mezzés, à emporter. 3 ans plus
tard, ils ouvrent avec des associés un restaurant libanais avant de vendre leurs parts…
Puis ils créent Noura en 1989 ?
Z. B.
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