Un concept et une cuisine futuristes

LE CHEF

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Un concept et une cuisine futuristes

Imaginé comme le scénario d’une expérience inédite et fantasmagorique, Miss KŌ reproduit sur 500 m² une rue asiatique futuriste et déjantée. Ce temple de l’art urbain est à la fois un restaurant, une cantine, un salon de thé et un lieu de fêtes. Pour servir au mieux les quelque 600 couverts quotidiens, les équipes disposent d’équipements ultra-performants, dont un cuiseur vapeur et des laveries signés Hobart.Par Anthony ThirietDepuis les États-Unis où il vit, Claude Louzon dirige un groupe de restauration qui compte en France. C’est lui qui a par exemple fondé il y a 30 ans Le Paradis du Fruit, enseigne comptant une vingtaine d’unités en France. C’est aussi lui qui a lancé Moutarde Street à Brooklyn avant d’en faire des lieux-concepts parisiens adaptés à la clientèle locale. « Ce qui lie ces enseignes et définit la philosophie de Claude Louzon, c’est l’importance donnée au détail, à l’ambiance et à la qualité de l’expérience proposée. C’est notamment ce qui explique que nous n’ayons pas aujourd’hui 350 restaurants », explique Grégory Fellous, directeur des opérations du groupe depuis une dizaine d’années.
Ce dernier a aussi travaillé sur le concept Miss KŌ, ouvert en février 2013 sur l’avenue George V, à deux pas


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