Traiter sérieusement le problème de la main-d’oeuvre

Traiter sérieusement le problème  de la main-d’oeuvre

Implanté dans une ancienne maison de particulier, le restaurant profitera de l’implantation voisine du nouveau Centre Dramatique national.


Son parcours l’a mené chez Marc Veyrat, dans les cuisines de l’Ambassade de France à Bogota où il a officié comme chef, à l’Auberge de Mozé à Champigné, dans le Maine-et-Loire. Un département où Pascal Favre d’Anne est encore aujourd’hui, puisqu’il vient d’ouvrir sa propre affaire à Angers, face au Château. C’est dans une maison d’habitation de 650 m2 que ce chef de 32 ans a créé avec sa compagne Mathilde (salle, sommellerie) une double offre de restauration, pour un investissement de 1,2 million d’euros (dont le piano Maestro/Bonnet). Au rez-de-chaussée, L’Air du temps est ouvert du lundi au samedi, le midi uniquement. Les formules de 20 à 30 euros proposent plusieurs petites portions différentes, avec au niveau des plats, un traditionnel, un exotique et un diététique. Le Favre Pari audacieux pour le chef qui propose une offre à la fois gastro et plus «exotique» dans une décoration branchée à laquelle les Angevins ne sont pas habitués.d’Anne, c’est le restaurant gastronomique situé à l’étage, qui accueille la clientèle midi et soir du mardi au samedi. Pascal Favre d’Anne souhaite éviter les clivages et marquer une identité commune, l’accueil est central, c’est un restaurant qui se décline en deux espaces de 40 places chacun. «La prestation s’adapte à la clientèle, qui peut manger plus


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