Regards croisés de 2 experts de la RHF sur le créneau montant de l’afterwork

LE CHEF

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Regards croisés de 2 experts de la RHF sur le créneau montant de l’afterwork
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Cet article est intégré au GRAND ANGLE « Afterwork »


Pour décrypter les enjeux de l’afterwork en France, nous avons sollicité 2 experts de la restauration commerciale : Bernard Boutboul, président-fondateur de Gira, cabinet de conseil et d’accompagnement spécialisé dans la RHD, et Laurent Pailhès, coach et consultant en restauration, dirigeant-fondateur de NEO Engineering. Voici leurs avis et conseils sur ce créneau, qu’ils jugent dynamique et prometteur.


Propos recueillis par Didier Thomas-Radux et Anthony Thiriet


Quelles sont, selon vous, les particularités de l’afterwork français ?
Laurent Pailhès : Le créneau de l’avant-dîner a progressé en France avec la déstructuration des temps de repas, comme ceux du petit-déjeuner et du snacking de l’après-midi. Pour l’heure, le phénomène concerne surtout les grandes


Laurent Pailhès DR

métropoles, avec en tête Paris et Lyon. Il s’observe plutôt en périmètre urbain et à proximité de centres d’activités assez marqués professionnellement, là où se trouvent beaucoup de bureaux et d’employés.
Bernard Boutboul : Comme son nom l’indique, l’afterwork est un sas entre la vie professionnelle et la vie privée. En France, il est surtout pratiqué par les trentenaires, commence vers 18h et se termine vers 21h. Les


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