Informer le consommateur sur le non fait maison et valoriser la cuisine artisanale traditionnelle française, tel est le projet du gouvernement soutenu par l’UMIH. La mention « fait maison » et son symbole – la casserole surmontée d’un toit avec sa cheminée – sont apparus sur la devanture et sur la carte des restaurants à la suite de l’adoption de la loi du 17 mars 2014 relative à la consommation (art. 7). L’objet de cette appellation garantit la lisibilité de l’offre de restauration. Le point avec Nathalie Hebting, rédactrice en chef UMIH.
C’est la reconnaissance du travail des professionnels qui investissent dans la qualité et dans leurs équipes
Franck Chaumès, président national UMIH Restauration
La mention « fait maison » avait, à l’origine, un double objectif : mieux informer les consommateurs et valoriser le travail des restaurateurs et leurs savoir-faire. Par conséquent, la finalité de ce décret est la reconnaissance de l’acte de cuisiner par rapport à une cuisine d’assemblage, en donnant au consommateur une information simple et fiable.
Dans un premier temps, le restaurateur devait apposer la mention « fait maison » devant les plats élaborés sur place à partir de produits bruts et ainsi garantir au consommateur un geste culinaire, une qualité et une transparence dans l’assiette. La volonté du gouvernement était, par cette mesure, de valoriser l’ensemble du secteur, de mieux informer le consommateur et concourir
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