Pour Metro Cash & Carry, Alexandra Ollivier étudie les gestes, besoins et habitudes des professionnels en snacking. En plus d’une approche « produits », elle aborde les choses en termes de « solutions » et travaille en transversalité sur différents métiers. Rencontre et explications. Anthony Thiriet : Comment considérez-vous le snacking chez Metro ?
Alexandra Ollivier : La restauration rapide s’organise en différents segments que sont par exemple le kebab, la pizza, le sushi et le burger. Mais au sein de ces catégories, les frontières se sont floutées entre snacking et restauration tablée. Le snacking est donc un sujet vaste qui touche tous les secteurs de la RHF et de l’alimentation, du fast-food au bar à cocktails en passant par les épiceries et boulangeries. N’oublions pas les cafés-bars qui ont souvent vu s’écrouler leurs ventes de jambon-beurre. Pour tous, nous avons lancé l’opération Sandwich Mania qui peut donner de nouvelles idées en phase avec la clientèle d’aujourd’hui. Elle se concrétise de 3 façons :
- Des nouvelles références produits et matériels ;
- Des propositions de recettes et solutions complètes ;
- Des animations dans les entrepôts et sur les salons.
A.T. : Concernant vos références, pouvez-vous citer quelques exemples de nouveautés spéciales snacking ?
A.O. : Nous avons notamment référencé, en janvier, une gamme de pains frais de la boulangerie Thierry, avec DLUO de 14 jours qui nous permet de répondre à un nouveau besoin. Elle comprend notamment
Il reste 69% de l’article à lire
Pas encore abonné ? Abonnez-vous !
Vous êtes abonné ? Connectez-vous
Accédez à l’ensemble des articles de Tendances restauration à partir de 49€
Créer un compte
