Les bouillons ne le prennent pas

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Les bouillons ne le prennent pas

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A Paris, comme en Province, les bouillons fleurissent sur le territoire. A l’heure de l’inflation galopante, ils représentent en effet une réelle alternative pour se faire plaisir sans se ruiner. L’occasion de se régaler de plats traditionnels de la cuisine française, remis au goût du jour.


 


Avant les brasseries, il y avait les bouillons ! Sous l’impulsion de Pierre Louis Duval, un boucher parisien, le premier aurait ouvert ses portes au sein des Halles parisiennes, en 1855. L’objectif ? Servir aux ouvriers du coin, un bouillon de vermicelles (d’où le nom) et la viande du jour, ce qui lui permettait s’écouler les bas morceaux dont sa clientèle aisée ne voulait pas. « Le succès fut immédiat, raconte Didier Lacoste, directeur du nouveau bouillon versaillais. Dans les années 1900, il en crée plusieurs qui deviennent ainsi la première chaîne de restauration populaire. »


Des bouillons en plein boom
Chartier, Julien…Outre les bouillons emblématiques parisiens, de nouveaux venus essaiment en effet sur le territoire français. Il y a 4 ans, le petit Vavin voyait le jour entre le Jardin du Luxembourg et la Tour


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