Le restaurant Saint Vincent, situé près de la gare de Grenoble, est un bistrot de semaine de qualité, avec apéritifs dînatoires. Son créateur, Vincent Dolezon, a ouvert une 2e unité sur le quai Perrière, avec un fonctionnement différent, adapté à son environnement. Présentation de sa stratégie.
Par Christel Reynaud
Lors de son lancement en juin 2008, Saint Vincent n’était qu’un bar à vins qui proposait des apéritifs dînatoires. « En tant qu’autodidacte de la restauration, j’avais travaillé dans un tel lieu à Marseille. L’univers me plaisait et j’ai eu envie de me lancer dans cette activité », confie le fondateur, Vincent Dolezon. La restauration n’était donc, au départ, que peu dévelope. « Mais je me suis vite aperçu que, compte tenu de l’intégration du lieu à un quartier d’affaires, il me fallait proposer une vraie carte de restauration au déjeuner. » Ce que fit le jeune Grenoblois, tout en maintenant l’activité bar à vins en soirée.
Maître Restaurateur
Avec ce double positionnement, Saint Vincent apportait du renouveau dans un secteur géographique qui comptait des adresses « vieillissantes ». Pour bénéficier d’un soutien financier, Vincent Dolezon s’est associé à Pi Investissement, 
qui possède 51 % des parts de la Sarl Pi Restaurants,
Il reste 76% de l’article à lire
Pas encore abonné ? Abonnez-vous !
Vous êtes abonné ? Connectez-vous
Accédez à l’ensemble des articles de Tendances restauration à partir de 49€
Créer un compte
