Histoire. Le kebab a perdu son fondateur, Mehmet Aygun, en 2009. Cet Allemand d’origine turque a vu son plat se propager dans le monde entier, et notamment en France avec un développement par l’Est d’une part, et par l’immigration d’Afrique du Nord d’autre part. Le taco est, quant à lui, un en-cas issu de la cuisine mexicaine, qui se déploie partout sur la planète.
Présentation. Sur Wikipédia, le kebab français est présenté comme un sandwich fourré de viande grillée à la broche généralement servi dans du pain (rond turc, entier ou demi-pain) avec des crudités (salade verte, tomates, oignons) et une sauce, la plus fréquente étant la sauce blanche. Le taco se compose quant à lui d’une tortilla repliée ou enroulée contenant une garniture, le plus souvent avec viande et sauce. En dehors de la ressemblance physique, ces deux sandwichs se dégustent avec les doigts et sans couverts. En France, on les trouvait surtout, jusque-là, dans des établissements indépendants appelés « kebabs » ou « grecs ».
Etat des lieux. Ces deux produits rencontrent le succès. Les kebabs représenteraient 14 % des sandwichs en France et la moitié des ventes hors sandwichs-baguette. Quelque 300 millions de kebabs seraient consommés chaque année dans l’Hexagone, via plus de 11 000 points de vente. Les prix abordables du kebab et du tacos en font des solutions de restauration à bas prix. Mais, ce double segment est en pleine modernisation :
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