« Il est plus difficile de conserver un client que de le faire venir la première fois »

LE CHEF

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« Il est plus difficile de conserver un client que de le faire venir la première fois »

Propriétaire de deux delicatessen américains à Toulon, Frédéric Zammit a fait de la fidélisation l’un des rouages essentiels de son enseigne New York Break. Il nous en parle sans langue de bois.Propos recueillis par Julien GuibertJ.G.: Quel système de fidélité avez-vous instauré ?
Frédéric Zammit :
Nous avons tout d’abord une carte de fidélité classique à 10 cases. Chaque case est cochée pour 10 € dépensés ; si le client consomme 40 €, 4 cases sont validées. Lorsque la carte est remplie, un dessert au choix est offert. Par ailleurs, le lancement d’un club VIP est à l’étude. Celui-ci offrira des avantages plus poussés aux adhérents, comme le fait d’être prioritaire lors de nos soirées, complètes en moins de 4 jours. Nous envisageons aussi d’offrir des paniers garnis à nos futurs membres.
J.G. : D’autres opérations permettent-elles, selon vous, de faire revenir les clients ?
F.Z. :
Trois types d’animations fidélisent aussi notre clientèle :



  • Les « ponctuelles », avec une offre commerciale type « happy hour » ou « hot dog party » ;

  • Les « soirées concert » ou « soirées magie », où le client ne paye rien en plus ;

  • Et, enfin, la célébration des « fêtes américaines », comme celle de l’indépendance ou Halloween.


Le soir du Super Bowl, nous étions le seul restaurant de Toulon à diffuser le


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