GHR : un premier congrès sous le signe de la transition

GHR : un premier congrès sous le signe de la transition
©N.Foulon

Le premier congrès national du GHR (Groupement des Hôtelleries et Restaurations de France) a débuté le 13 novembre à la Station F à Paris, un an après la création du groupement, issu de la fusion des trois organisations syndicales (GNI, SNRTC et SNRPO).


Un congrès qui a pour thème la transition aux niveaux écologique, énergétique, de l’emploi et de la digitalisation. « La crise covid nous a fait prendre conscience de notre extrême fragilité, a précisé Pascal Mousset, président du GHR Paris Ile-de-France qui a ouvert le congrès. Elle a agi tel un catalyseur, provoquant et accélérant les changements ».


Didier Chenet, le président sortant du GHR, a ensuite mis en avant les succès de l’organisation syndicale sur des sujets comme le maintien de l’exonération fiscale des pourboires ou encore « le travail engagé par la ministre déléguée au Tourisme, Olivia Grégoire, pour rééquilibrer le marché des titres restaurant et permettre une réduction des commissions payées par les restaurateurs. »


Un congrès qui entend fédérer les professionnels et répondre à leurs préoccupations comme celles autour de l’emploi, du statut d’auto-entrepreneur, ou encore la transition environnementale via notamment la rénovation énergétique des bâtiments.


Sans surprise, c’est Catherine Quérard (seule candidate à l’élection), l’actuelle vice-présidente et hôtelière et restauratrice nantaise, qui prendra la tête du GHR pour trois ans à partir du 14 novembre.


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