Point de vue avec GHR (Groupement des Hôtelleries & Restaurations de France)
Le gouvernement vient en effet de lancer une consultation auprès des organisations professionnelles de
la restauration afin de travailler à plus de transparence sur les cartes et menus des restaurants. L’occasion de faire un rapide état des lieux, d’examiner les options proposées par le gouvernement aux professionnels et de réfléchir à ce qui pourrait être une autre voie. Didier Chenet, président du GHR
Les textes sur la transparence en restauration relèvent d’abord du droit commercial : c’est l’interdiction des pratiques trompeuses ou des fausses informations. À ces règles de base sont venues s’ajouter des informations visant à garantir la sécurité sanitaire du client. C’est l’information obligatoire sur l’origine des viandes bovines dans les restaurants (désormais généralisée à toutes les viandes).
Enfin, c’est en 2014 que la mention « fait maison » a été créée dans la restauration afin d’informer le client que le plat qu’il va déguster a été cuisiné sur place à partir de produits bruts.
Une mention peu claire
À en croire le travail lancé par le gouvernement, ces règles ne seraient pas suffisantes pour garantir aux clients une information claire et transparente sur la nature
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