« Flunch is back »

LE CHEF

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« Flunch is back »
Photos ©Flunch

Fort de 100 restaurants en propre et de 55 en franchise, le groupe Flunch a connu quelques déboires et a dû fermer de nombreux sites. Pour re-séduire les consommateurs mais aussi de futurs restaurateurs, il teste un tout nouveau concept, à Faches-Thumesnil. Baptiste Bayart, PDG de Flunch, nous en dévoile les grandes lignes.


 


Le développement de Flunch s’est fait principalement en succursale ?
Baptiste Bayart : oui, Flunch s’est développé en propre, avant de s’ouvrir à la franchise. Ce développement hybride répond à une problématique de business modèle et de taille. Globalement, lorsque les restaurants font plus de 1 000 m², nous les exploitons plutôt en succursale. Compte tenu des investissements nécessaires, ce serait plus compliqué pour des franchisés. A l’inverse, avec des restaurants de taille plus modeste, il est plus simple de miser sur une franchise ou une location gérance. C’est gagnant, gagnant pour le franchisé comme pour le franchiseur.


Pour renouer avec le succès, vous avez revu votre concept ?
B.B. : Oui, nous testons depuis juillet dernier, à Faches-Thumesnil, notre Flunch de nouvelle génération, avec pour objectif de rénover l’ensemble de notre parc en 2 ans. Ce projet s’articule autour de plusieurs axes forts, notamment la valorisation de l’offre et des métiers. L’offre sera présentée en corners, avec des stands burgers, plancha/grillades, bistrot,


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