Colombien d’origine, Juan Arbelaez goûte la cuisine française depuis l’enfance. À 18 ans, il quitte tout pour venir réaliser ses rêves de gastronomie à Paris, participe à « Top Chef » puis ouvre son premier restaurant à 25 ans. 10 ans après « Top Chef », celui qui est avec ses associés à la tête de 14 restaurants et de marques d’épicerie, regorge de projets… Retour sur la success-story d’un chef qui met un point d’honneur à proposer une cuisine du monde, de partage et accessible à tous. Propos recueillis par Pascale Benhaïem-Komlos
« Arbela, c’est le nouveau nom de Vida, Levain et Streetlab. »
Juan Arbelaez
La cuisine, c’est un rêve d’enfant?
Juan Arbelaez : J’ai toujours baigné dans un univers culinaire. Mon grand-père qui est parti il y a un an et demi cuisinait très bien. Je viens d’une famille extrêmement gourmande et nombreuse, ce qui n’allait pas sans quelques conflits mais tout le monde laissait les armes à la porte du repas, qui était un lieu de paix. À mes yeux, mon grand-père et ma mère étaient un
peu des super héros, avec ce pouvoir de réunir tout le monde autour de la table !
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