« Il faudra rassurer sur la parfaite sécurité de tous au restaurant. Sans oublier que nous sommes des métiers de convivialité »
Alexis Bourdon, président du Syndicat National de l’Alimentation et de la Restauration Rapide (SNARR), et Hervé Dijols, président du Syndicat National de la Restauration Thématique Commerciale (SNRTC)
Propos recueillis par Anthony Thiriet
Hervé Dijols, qu’est-ce qui vous a mené au SNRTC ?
Hervé Dijols : Aveyronnais d’origine, diplômé d’une école hôtelière parisienne, je suis d’abord parti vers d’autres secteurs. Mes parents étaient propriétaires du Malakoff, une belle brasserie de la place du Trocadéro à Paris ; et mon père était investi dans la vie syndicale. J’ai rejoint l’affaire familiale et, coopté par plusieurs personnalités (Pierre Gauthier, Jacques Mathivat, Didier Chenet…), j’ai intégré le SNRLH, dont je suis devenu 1er vice-président ; puis le Synhorcat, fusion du SNRLH et du SFH. Au bout de quelques années, j’ai préféré quitter cette organisation, et mes 22 autres mandats, notamment à la CGPME nationale et à l’Office de Tourisme de Paris. Beaucoup d’enseignes ont alors rejoint le SNRTC, fondé par Laurent Caraux en 2005, alors présidé par Philippe Labbé, dirigeant de Courtepaille. Pour ma part, j’ai vaqué à mes occupations professionnelles, en reprenant d’autres établissements, dont le Wilson sur la même place du
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