Petit-déjeuner et brunch, sucrés, salés… «Créer la nouveauté pour créer l’envie»

LE CHEF

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Petit-déjeuner et brunch, sucrés, salés… «Créer la nouveauté pour créer l’envie»
© LeaGil

Se réinventer ? Un challenge audacieux pour une marque telle que La Tarte Tropézienne, née en 1955 à Saint-Tropez. La mythique brioche garnie de crème signée Alexandre Micka, dont la recette héritée de sa grand-mère a été transmise à Albert Dufrêne – qui a officiellement repris les rênes de la maison en 1985 – a pourtant su perdurer avec brio.


 


La recette de ce succès (à défaut de celle de la tarte, jalousement coffrée et connue de 3 personnes seulement) : se renouveler en permanence, multiplier les points de vente ainsi que les collaborations, s’adapter aux nouveaux modes de consommation et surtout, « tout miser sur la qualité, à la fois du produit et du service », explique Sacha Dufrêne, fils d’Albert aujourd’hui à la tête de La Tarte Tropézienne.


UN CAPITAL SYMPATHIE PRÉSERVÉ
« La marque dispose d’un capital sympathie très important que nous avons à cœur d’entretenir. Nous travaillons donc


© E. Niel

énormément à la fidélisation de notre clientèle. Nous proposons un produit segmentant, qui plaît à tout le monde. La tarte tropézienne représente 50% de nos ventes, c’est 2 500 à 4 000 pièces produites par nuit, et 1 client sur 2 qui vient dans l’une de nos 29 boutiques


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