Restrictions de circulation, zones de couleur, flux supplémentaires… La logistique des JO s’annonce un véritable casse-tête pour les distributeurs comme pour les enseignes.
Faire venir les denrées ou le personnel jusqu’à ses restaurants… « Oui, cela risque d’être un peu compliqué en termes de logistique, reconnaît Frédéric Levacher, DG de Quick. Mais malgré cela, je suis ravi que notre entreprise participe à ce bel événement. En parallèle des sujets de la livraison de nos restaurants et de la venue de nos employés, il se trouve que notre siège social est situé à 150 mètres du siège des JO et que nous avons aussi un restaurant à Saint-Denis. Côté siège, on sera sans doute amenés à accroître le télétravail, l’important est de continuer à fonctionner. » Avec son logisticien Stef, le groupe est en train de mettre en place des plans opérationnels très précis pour instaurer des livraisons de nuit ou augmenter leur rythme, en fonction des contraintes. Pour Areas qui lui aussi a dans son giron des restaurants situés en zone rouge, gare de Lyon par exemple, l’enjeu logistique est de taille. Le groupe œuvre avec son fournisseur principal Transgourmet pour revoir les plannings de livraison et réorganiser sa logistique. « C’est compliqué, concède Emmanuelle Cubizolles, car on ne sait pas encore vraiment combien de personnes viendront mais si le flux est là, nous devrons être capables de l’absorber. Notre équipe logistique a des points
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