Les événements sportifs sont propices à booster la consommation d’apéros dînatoires lors d’afterworks conviviaux. Pendant ou après les épreuves, en terrasse ou pas, on fait ou refait le match en profitant de la fin de journée. Charge aux restaurateurs de s’organiser pour proposer une offre dédiée.
L’afterwork a la cote ! Et devrait être encore boosté par les JO, rappelle Bernard Boutboul, président Gira : « L’événement est une opportunité extraordinaire de développer d’autres moments de consommation que le déjeuner ou le dîner, notamment l’afterwork. Planches de charcuterie et de fromages bien de chez nous, mezze et anti-pasti à la mode française… Ces moments de partage ont aussi le vent en poupe parce qu’ils sont économiques car on ne dîne pas derrière. » Pour séduire le convive, particulièrement les 25-35 ans, l’originalité ne manque pas, avec des planches thématiques comme Au Corsaire à Chambéry (sea food, espagnoles, savoyardes, asiatiques) ou des offres de 6 huîtres et deux verres de blanc au Polpo à Levallois-Perret. Et ça marche, selon Gira, les bars/brasseries/restaurants ont enregistré une croissance valeur de 25 % sur l’afterwork entre 2022 et 2023…
Tout le monde s’y met !
Les brasseries misent depuis quelques années sur le business des événements sportifs. Les chaînes ne sont pas en reste. L’une d’entre elles, l’enseigne Del Arte, en a même fait l’un des temps forts de son nouveau concept, le Cafferitivo. Inauguré fin
Il reste 67% de l’article à lire
Pas encore abonné ? Abonnez-vous !
Vous êtes abonné ? Connectez-vous
Accédez à l’ensemble des articles de Tendances restauration à partir de 49€
Créer un compte