Si la transparence est le nouveau créneau des restaurateurs, tous n’en font pas un pilier de gestion et de communication. À Bordeaux, à seulement 26 ans, Chris Madé gère Label Terre, un fast good dont le nom évocateur sied au concept soigné et locavore.
Par Anthony Thiriet
Chris Madé a grandi dans le restaurant bordelais de sa maman, L’Antre de Péguy, devenu Le Chien de Pavlov. Après quelques expériences en tant que barman, notamment au bar animé Le Trouduc, il décide de lancer son affaire. « Je mettais de l’argent de côté jusqu’à pouvoir réaliser ce projet. » Ses 26 ans n’ont pas été un frein, Bordeaux regorgeant de jeunes patrons dans la restauration. Chris Madé a même obtenu un crédit à taux 0 par la Chambre de commerce et d’industrie. Il trouve un local très bien placé de 28 m² et 2 étages, et investit 50 000 € dans cet ancien restaurant de tajines et kebabs, pour « tout refaire à neuf ».
Pourquoi le nom Label Terre ? Pour le jeu de mot bien sûr, mais aussi parce que « Label évoque la qualité » et « Terre évoque le sol d’où viennent les produits naturels ». Imaginé par Pierre Tutard, le logo revisite le symbole chimique de la terre. La charte graphique et le
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