Aussi appelée « cloud kitchen » ou « ghost kitchen », la « dark kitchen » n’a qu’une réalité : c’est un restaurant « dématérialisé », autrement dit une cuisine, un ensemble de cuisines ou un laboratoire exclusivement dédiés à la livraison de repas. En dehors des réflexes juridiques communs à tous les segments de la restauration, il est important de veiller à certains aspects lorsque l’on souhaite se lancer dans ce mode de production et de distribution. Dressons avec Linkea les principaux focus juridiques à appréhender dans le cadre d’un projet de dark kitchen.
Informations recueilles par Anthony Thiriet
Né de la démocratisation de la livraison à domicile, le concept de « dark kitchen » rencontre aujourd’hui un succès vif et incontestable. Force est de constater qu’il est particulièrement adapté à ces temps si spéciaux de crise sanitaire, notamment aux périodes de confinements que subit la population depuis mars dernier. Mais il est aussi prometteur pour des situations plus « normales », puisqu’il présente un atout de taille : il vous permet de bien distinguer votre service de livraison de votre activité de restauration avec accueil physique des clients.
► Anticipez dès le départ…
le besoin d’une extraction
Avant de choisir un local pour le dédier à une telle activité de livraison de repas, il est impératif de bien réfléchir aux types de préparations culinaires qui
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