La Pataterie compte 170 restaurants dans toute la France, contre 32 fin 2008. Ce développement rapide, sous la houlette d’Alexandre Maizoué, s’est fait principalement en franchise. Le premier franchiseur de France en RHF dit accompagner ses franchisés au quotidien, tout en leur laissant une marge de liberté. L’un d’eux, à Bayonne, se livre sur son expérience.
Par Anthony Thiriet
Christophe Petit a un CAP Cuisine et a fait son apprentissage dans la restauration traditionnelle. Il entre chez Hippopotamus en 1990 en tant que chef de cuisine salarié, puis devient responsable technique régional de l’enseigne et des concepts Tablapizza et Bistro Romain (Groupe Flo). En 2009, il rejoint La Pataterie aux côtés du fondateur Jean-Christophe Pailleux et de l’actuel dg, Alexandre Maizoué. « J’ai changé d’enseigne, mais pas de poste ! » L’enseigne compte alors une trentaine de restaurants en France, contre quelque 130 en 2014, quand il quitte son poste.
De franchiseur à franchisé !
« Je voulais ouvrir mon restaurant, mais il m’aurait fallu tout faire : menus, communication, travaux… J’ai bien réfléchi et j’ai préféré ouvrir une unité franchisée avec La Pataterie. » Christophe Petit a ainsi pu profiter de la 
notoriété de la marque dès l’ouverture des portes. Quid de la redevance à 4 % ? « À la base, c’est un choix, qui se fait en toute transparence ! Le franchisé doit donc faire avec !
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