Après avoir participé au développement de Midas et Archéa, Alain Duquesne a rejoint le secteur de la restauration en 2008. Il a racheté le concept Ankka, qu’il a modélisé et dupliqué. Le succès étant au rendez-vous, il est passé à la vitesse supérieure, tant dans l’affinage de l’offre que dans le développement du réseau en franchise, système qu’il maîtrise.
Propos recueillis par Anthony Thiriet
Anthony Thiriet : Qu’est-ce qui vous a mené à la tête du réseau Ankka ?
Alain Duquesne : Le concept a été fondé au Mans, en 2008, par trois restaurateurs. Si le lieu fonctionnait bien, ces gens-là n’étaient pas des professionnels du développement. De mon côté, je commençais à maîtriser les réseaux, avec plus de 30 ans d’expérience, tant en franchisé qu’en franchiseur. Je cherchais un concept à développer et j’avais 
décelé un vrai potentiel dans ce restaurant. J’ai racheté la marque en 2009 avec l’idée de modéliser le concept en l’améliorant. La seconde unité a ouvert ses portes rue de la Boétie à Paris, en juin de la même année, sur 60 m². J’ai racheté les parts des fondateurs en 2010 et continué de faire évoluer Ankka.
A.T. : Vous qualifiez Ankka de fast casual. Qu’est-ce que cela signifie pour vous ?
A.D. : Ankka est un
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