Le 6 décembre, Moma Group a annoncé l’entrée à son capital de Butler Industries en tant « qu’actionnaire minoritaire significatif » et la nomination de Walter Butler comme vice-président du conseil d’administration. Ce partenariat stratégique entend permettre au groupe fondé et présidé par Benjamin Patou d’accélérer sa croissance avec l’objectif d’ouvrir plus de 40 nouveaux établissements à l’horizon 2025.
Dans les 12 prochains mois, Moma Group dévoilera ainsi une quinzaine de nouvelles adresses, parmi lesquelles : Noto à Marrakech ; Mimosa, Café Lapérouse, Noto et Manko en Arabie Saoudite ; Manko à Athènes ; Casa Amor à Dubaï ; Café Lapérouse à Miami ; Noto à Nice ; mais aussi Mimosa à Londres, quelques semaines après la récente ouverture du café Lapérouse dans la capitale britannique.
Une expertise déjà reconnue
De son côté, Butler Industries dispose d’une expertise reconnue dans les métiers de la restauration et de l’événementiel, avec des investissements significatifs dans des actifs tels que le Paradis latin, le groupe Pierre Hermé, l’Ambroisie, le groupe Partouche, La Liste et plusieurs vignobles.
« Je me réjouis d’accueillir Butler Industries et Walter Butler au capital de Moma Group, aux côtés de Patrick Bruel et Eric Sitruk qui restent pleinement engagés. En tant qu’entrepreneurs et passionnés des métiers de l’hospitalité et du savoir-vivre à la française, nous partageons avec Walter Butler l’envie de continuer à faire grandir la reconnaissance de Moma Group au-delà des frontières françaises. Avec cette prise de participation, Moma Group peut compter sur un nouveau partenaire, doté d’importants moyens financiers, engagé et expert pour accélérer sa croissance rentable et créer des synergies intéressantes entre nos marques », déclare Benjamin Patou.
« C’est une grande joie pour moi et pour Butler Industries de devenir aujourd’hui l’actionnaire minoritaire de référence de Moma, aux côtés de Benjamin Patou, et de s’associer à une personnalité qui contribue au rayonnement de l’art de vivre français dans le monde. Bien plus qu’un investissement financier, c’est un investissement sur le savoir-faire français dans l’art de vivre, et ce sur un projet de long terme », ajoute de son côté Walter Butler, président de Butler Industries.
M.B.
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