Depuis sa prise de fonction comme manager du centre-ville de Valence (26), Louis Roux, titulaire d’un master 2 d’aménagement et urbanisme durable, se donne les moyens de le redynamiser. De quelles manières ? Il nous offre des éléments de réponse.
Propos recueillis par Anthony Denay
Quelle était la situation du centre-ville de Valence avant votre arrivée et quelles sont vos missions ?
Louis Roux : À mon arrivée, en avril dernier, le taux de vacance commerciale était de 7 % à Valence. C’est un chiffre raisonnable, bien en dessous de la moyenne nationale (10-11 %), mais tout de même au-dessus du taux idéal (4-5 %). Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, un taux de vacance de 0 % n’est pas souhaitable, car si toutes les cellules sont occupées, il y a un effet d’asphyxie empêchant au centre-ville de se renouveler en termes d’activité. Il faut donc trouver le bon équilibre, et c’est notamment ce sur quoi je travaille. De plus, suite aux premières assises du centre-ville de Valence, qui se sont tenues en mars 2017, des aides sont octroyées aux commerçants pour la
rénovation de leur commerce (réaménagement, travaux, réfection de la vitrine,
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