À Nantes, côté restauration, c’est bien trop calme…

LE CHEF

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À Nantes, côté restauration, c’est bien trop calme…
La baisse de fréquentation se ressent même dans la restauration rapide, comme au snack Springfield situé face à la gare SNCF. Photos © A. Ollier

Article intégré au Grand Angle de B.R.A. n°415 (janv.-fév 2021) – « VAE, click & collect, dark kitchens : mutations et adaptations sur le terrain »


 


Après un tour dans la capitale, particulièrement touchée par l’absence de tourisme et le travail, rendons-nous maintenant dans 3 autres villes de France : Lyon, Marseille et Nantes. Comment la restauration commerciale se porte-t-elle dans ces métropoles plus petites ? Quel succès y rencontre la vente à emporter ? Éléments de réponse, tout d’abord, avec des professionnels de la 6è ville de France et préfecture des Pays de la Loire.


Par Amandine Ollier


 


Nantes s’anime un peu à la pause déjeuner. Les salariés de l’Île de Nantes, quartier dynamique, recherchent des repas simples et rapides. Les lycéens et étudiants du centre-ville déambulent pour trouver une offre de restauration rapide qui puisse faire leur bonheur. Pour répondre à cette demande de snacking qui a explosé depuis mars 2020, les établissements ont multiplié les offres de vente à emporter. Au centre comme dans les quartiers environnants, la VAE permet aussi aux restaurateurs de maintenir une activité économique, et sauvegarder leur lien avec leurs clients. En se lançant dans cette


Loick Le Brun, Pita

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