Article intégré au Grand Angle de B.R.A. n°415 (janv.-fév 2021) – « VAE, click & collect, dark kitchens : mutations et adaptations sur le terrain »
Du côté de Marseille, depuis la re-fermeture de fin octobre, peu de restaurateurs tentent de maintenir le rideau ouvert pour entretenir leur clientèle. Dans cette ville où est née la cuisine de rue française, avec le premier camion pizza en 1962, la street food tire toutefois son épingle du jeu… et règne parfois même en maître, aidée des plateformes de livraison.
Par Didier Thomas-Radux
Pour L’hydroxychloroquine du désormais célèbre docteur marseillais Didier Raoult n’a pas plus fait de miracles en médecine qu’en restauration : l’ambiance est bien terne autour du cours Honoré-d’Estienne-d’Orves où, d’habitude, se retrouvent moult touristes et Marseillais dans les nombreux restaurants et bars du quartier. À part le restaurant indien Ashoka, la plupart des établissements de ces rues proches du Vieux Port, d’habitude très animées, sont fermés.
Une offre à emporter pour rester
dans les radars de la clientèle
Parmi les rares lieux ouverts, la récente brasserie 1860 Le Palais, logée dans une aile de la Bourse du Commerce, propose
des propositions
Il reste 87% de l’article à lire
Pas encore abonné ? Abonnez-vous !
Vous êtes abonné ? Connectez-vous
Accédez à l’ensemble des articles de Tendances restauration à partir de 49€
Créer un compte